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«Virus du PCC»: il faut donner le vrai nom au virus responsable de la pandémie mondiale

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Un jeune garçon chinois enlace une parente alors qu'elle se prépare pour monter à bord d'un train à la gare de Pékin, en Chine, le 21 janvier 2020. (Kevin Frayer/Getty Images)

Il y a eu récemment une controverse sur le nom du virus qui a déclenché la pandémie mondiale actuelle. Le Parti communiste chinois (PCC) préfère le terme « nouveau coronavirus ». D’autres l’ont appelé le « virus de Wuhan », d’après son lieu d’origine, comme il est fréquent de nommer les maladies.

Epoch Times propose un nom plus précis, le « virus du PCC », et vous invite à nous rejoindre pour adopter ce nom.

Ce nom rend le Parti communiste chinois (PCC) responsable de son mépris aveugle pour la vie humaine et de l’apparition de la pandémie qui en résulte, une pandémie qui a mis en danger un nombre incalculable de pays dans le monde entier, tout en créant une peur généralisée, dévastant les économies des nations qui tentent de faire face à cette maladie.

Après tout, les responsables du PCC savaient dès le début du mois de décembre que le virus était apparu à Wuhan, mais ils sont restés bouche cousue pendant six semaines. Ils ont arrêté ceux qui ont essayé de prévenir la population du danger, les accusant de répandre des « rumeurs », et ont utilisé une censure rigoureuse pour empêcher toute couverture médiatique et pour supprimer toute trace du danger sur les médias sociaux.

Ce qui aurait pu être contenu s’est répandu en silence, se manifestant dans toute la Chine. Des personnes qui auraient pu se protéger sont devenues des victimes, en nombre bien plus important que ne l’a admis le PCC. Fin janvier, des rapports indiquaient que tous les fours crématoires de Wuhan fonctionnaient 24 heures sur 24, sept jours sur sept pour incinérer les cadavres.

Le 16 mars 2020, des professionnels de la santé en combinaison font entrer un patient en soins intensifs dans le nouvel hôpital temporaire Columbus Covid 2 de l’hôpital Gemelli à Rome. (Andreas Solaro/AFP via Getty Images)

Pendant ce temps, les mesures prises pour mettre en quarantaine et traiter la population de Wuhan ont été terriblement inhumaines. Des immeubles d’habitation ont été condamnés. Des « hôpitaux » temporaires ont été créés, qui ont servi de prisons pour ceux que l’on estimait infectés par le virus. Enfermés dans ces lieux sans aucun traitement médical et avec peu de nourriture, les malheureux y ont été piégés jusqu’à la mort.

En mentant sur le danger auquel la Chine est confrontée, le PCC a agi selon le scénario habituel. Le discours prédominant du régime communiste chinois est : « Le Parti est grand, glorieux et correct ». La présence du virus du PCC mortel à Wuhan, ou, en 2003, du virus du SRAS, ne correspond pas au scénario. Comme pour le SRAS, la première réaction a été le déni.

Mais face à ce virus, le déni n’est pas acceptable. Le monde a besoin de connaître son origine et le PCC a refusé de coopérer. Les experts étrangers n’ont pas été autorisés à entrer à Wuhan.

Et l’on peut comprendre l’inquiétude que suscite les activités de l’Institut de virologie de Wuhan, le seul laboratoire P4 de Chine, destiné à travailler avec des agents pathogènes facilement transmissibles, et susceptibles de provoquer des maladies mortelles. Les explications officielles sur la source du virus ayant été réfutées, des questions ont été soulevées sur la fuite éventuelle du virus du PCC hors de l’institut.

En tout état de cause, les questions sur l’origine du virus sont restées sans réponse et le Parti communiste chinois a commencé à accuser les États-Unis d’être responsables. Le monde entier a réagi avec perplexité, voire dérision. Le président Donald Trump a repoussé ces accusations en parlant du « virus chinois ».

Epoch Times désigne le nouveau coronavirus, qui est à l’origine de la maladie COVID-19, comme le virus du PCC parce que la dissimulation et la mauvaise gestion du Parti communiste chinois ont permis au virus de se propager dans toute la Chine et de créer une pandémie mondiale.

Le PCC entend désormais faire porter la responsabilité du virus aux États-Unis. En refusant de prendre les mesures nécessaires dès l’apparition du virus et de reconnaître l’ampleur de la pandémie, le PCC a infligé des souffrances sans commune mesure au peuple chinois. Il cherche à présent à se défausser à nouveau en rejetant la responsabilité sur d’autres et continue à tyranniser son propre peuple.

C’est pourquoi le nom de « virus du PCC » est indispensable pour distinguer les victimes des agresseurs. Les habitants de Wuhan et de la Chine sont victimes de l’arrogance et de l’incompétence du PCC, qui s’expriment dans cette pandémie virale.

Le nom de virus du PCC sonne également comme un avertissement : les nations et les personnes proches du régime communiste chinois sont celles qui souffrent le plus des effets de ce virus, comme le montrent les infections qui font rage en Iran, proche allié du PCC, et en Italie, seul pays du G-7 à avoir adhéré à l’initiative « Belt and Road ». Taïwan et Hong Kong, qui sont très sceptiques vis-à-vis du PCC, ont eu relativement peu d’infections.

Enfin, le virus du PCC rappelle aux peuples du monde entier que la source du virus est elle-même maléfique. Il s’agit d’un virus communiste, et avec le nom de virus du PCC, Epoch Times rappelle au monde le remède : mettre fin au PCC.

(Article original: Epoch Times)

Les médias officiels du Parti communiste chinois démentent la propagation de l’épidémie à Guangzhou

Récemment, dans la ville de Guangzhou en Chine, la nouvelle qui circule fait grand bruit. Le coronavirus, renommé virus du PCC, le Parti communiste chinois, serait en train de sévir dans une deuxième vague.

Selon les dernières informations, depuis le 5 avril, les écoles et les commerces du quartier de Sanyuanli sont fermés, ainsi que le village de Yaotai. Le couvre-feu a même été imposé dans certaines zones et les militaires effectuent des inspections en porte-à-porte.

D’autres nouvelles indiquent que l’hôpital Fangcang est en construction juste à côté de l’hôpital militaire de Guangzhou pour faire face à l’explosion de l’épidémie dans la ville.

Guangzhou est le centre économique du sud de la Chine. Certains habitants disent que Sanyuanli est le carrefour économique et des transports de Guangzhou. Si l’épidémie explosait dans cette ville, ce serait très grave. Elle se répandrait très vite et ce serait pire qu’à Wuhan.

Le bureau du contrôle de l’épidémie de Guangzhou a annoncé le 7 avril dernier : « il y a eu des nouveaux cas de contamination importés, mais le village Yaotai n’a pas été fermé ». Cependant, la plupart des gens ne croient plus tellement les informations officielles du PCC.

En parallèle, le média officiel du PCC a annoncé que l’épidémie a eu lieu dans le quartier africain de Guangzhou dans un premier temps, et que « le quartier africain de Guangzhou va devenir une source de contamination importante. » Des commentaires externes estiment que l’objet de cette déclaration est de rejeter la responsabilité sur les habitants africains

Des discussions postées sur internet disent en résumé : « Le PCC essaye de contester sa responsabilité dans la probable deuxième vague d’épidémie ; il rejette la responsabilité sur les États-Unis, l’Allemagne et l’Italie pour les cas de contamination importés et maintenant ce sont les africains. » « Toute la faute vient des pays étrangers ».
De plus, on a entendu dire, le 6 avril 2020, que le village de Huangpo dans la région de Hubei, a été de nouveau fermée.

Un post sur internet indique que ce qui se passe actuellement en Chine ressemble vraiment au désastre annoncé par l’ancien prophète Liu Bowen dans un poème.

Des commentateurs externes se montrent extrêmement inquiet de l’arrivée d’une deuxième vague d’épidémie et insistent sur l’importance d’une prévention sans relâche.

DEMANDE DE DEDOMMAGEMENT AU PCC

Le bilan est de plus de 70.000 morts, l’animateur d’un média américain s’est fâché ! Bannon affirme : ça n’a rien à voir avec le peuple chinois, ceci est le virus du parti communiste chinois (PCC)

(le reportage intégral de la radio Voix d’espoir de l’Europe)

La pandémie du virus du Parti Communiste Chinois (La Pneumonie de Wuhan) est toujours en train de faire rage dans le monde entier, selon le bilan, le nombre de cas confirmé au monde a déjà dépassé un million trois cents mille (1,328,786), le nombre de décès a dépassé soixante-dix mille (73,801),les pays d’Europe et d’Amérique du Nord (États-Unis, Espagne, Italie, France, Allemagne etc) représentent la grande majorité d’entre eux, qui sont devenus les zones les plus touchées de la pandémie.

Ce bilan choquant et effrayant a fait réagir les pays et leur peuple profondément touchés par la pandémie au point de commencer à enquêter sur l’origine du virus, les médias et les politiques des pays européens et américains ont tous pointé du doigt le Parti Communiste Chinois, ils sont également capable de faire la différence entre le Parti Communiste Chinois qui est coupable et le peuple chinois.

Dans une entrevue il y a quelques jours entre l’ancien représentant en chef de la Maison Blanche et conseiller du président, M. Steve Bannon à Fox News,a corrigé l’animatrice Masha en disant que ce n’est pas le peuple chinois qui le fait, mais le Parti Communiste Chinois.

Masha l’a interrogé d’un manière pressante, ‘Déjà en janvier, les chinois ont acheté deux milliards de masques et vingt cinq millions trois cent quatre vingt mille vêtements de protection, tandis que la Chine est capable de produire la moitié de masque du monde entier. Pourquoi ont-ils acheté deux milliards de masque en janvier avant d’annoncer au monde cette crise?

Bannon : écoutez, ça n’a aucun lien avec le peuple chinois, ce n’est pas le virus chinois, ce n’est pas le virus de Wuhan, ni le COVID-19, c’est le virus du Parti Communiste Chinois, le peuple chinois est des plus bienveillant et compréhensif, le peuple de Wuhan est quasiment détruit par le Parti Communiste Chinois. Maintenant nous savons que le Parti Communiste Chinois connaissait déjà la situation du marché des marchandises de protection, n’ai-je pas dit pourquoi il y a besoin d’une enquête de fonds, le virus vient-il du laboratoire P4? ou du laboratoire P2 du CDC de Wuhan? Nous avons une réponse après l’enquête. Nous croyons que le Parti Communiste Chinois sait exactement d’où vient le patient zéro. Le plus important, c’est que le peuple taïwanais nous a dit que ce virus s’est répandu au travers des gens. Le 14 janvier, l’OMS a publié un twitt disant qu’ils avaient déjà consulté le ministre de la santé publique du Parti Communiste Chinois, qui a nié le fait que ce soit transmis par le moyen des être humains.

Le même jour, la Société Henry Jackson d’Angleterre a publié un rapport officiel. Selon le rapport, la pneumonie du Parti Communiste Chinois a déjà infecté plus d’un million de gens au monde, il s’agit d’une violation directe de la loi internationale, dont « Les règlements internationaux de la santé » . Cela a causé une perte énorme de 3,2 billions pour le G7 en incluant l’Angleterre, les États-Unis, et le Japon. Le premier ministre australien, Scott Morrison, a dépensé, un montant sans précédent de 130 milliard pour soutenir les ouvriers et les entreprises, cet argent devrait être compté dans la compensation.

Pour cela, cette société conseille au gouvernement du Royaume Uni d’aller à la cour internationale pour demander une compensation montant à 351 milliards au gouvernement chinois en raison de cette pandémie.

Auparavant, les médias français et allemand ont déjà publié des articles pour critiquer le Parti Communiste Chinois d’avoir menti sur la situation de la pandémie.

Le journal suédois « Industrie quotidien » a dédié une page entière pour pointer du doigt le Parti Communiste Chinois, ils ont fusionné le portrait de Xi Jinping avec l’image du nouveau coronavirus, appelé le « le virus Jinping »

Le Figaro de France a publié un titre qui fâche les européens de différents secteurs, mais qui n’ont pas le courage de le dire, il s’appelle « Le nouveau coronavirus (le virus du Parti Communiste Chinois): Qui ose blâmer le Parti Communiste Chinois ». Les journalistes italiens disent qu’il faudra demander la compensation de guerre au du Parti Communiste Chinois.

Un média américain utilise « Virus du PCC » (pneumonie de Wuhan) pour la 1ère fois

« Virus du PCC » approuvé par Trump(source/新聞里的貓膩)

Le 22 mars, le sénateur républicain Marco Rubio et l’ancien stratège de la Maison Blanche, Steve Bannon, ont répondu à une interview de Maria Bartiromo sur la chaine Fox TV. Steve Bannon a alors utilisé le terme de « Virus du PCC » approuvé par président Trump.

Bannon a déclaré : « Le « Virus du PCC » diffusé par le PCC dans le monde entier, pousse progressivement le secteur médical de New York au bord de l’effondrement. Le président Trump et le gouverneur Cuomo mettent tout en œuvre pour combattre l’épidémie ».

C’est la première fois que l’expression « Virus du PCC » est utilisée par un grand média américain.

Le 19 mars, dans le Washington Post, le chroniqueur Josh Rogin a suggéré d’utiliser « Virus du PCC » pour distinguer « le peuple chinois de ses dirigeants ». L’adoption de ce terme part Fox TV a eu un fort retentissement.

Suite aux déclarations du PCC accusant les Etats-Unis d’être à l’origine de l’épidémie, Trump avait qualifié le Covid-19 de « Virus chinois ». Cependant, plusieurs experts ont rapidement suggéré que l’expression « virus du PCC » était plus appropriée.

Lors de son interview sur Fox TV, Rubio a expliqué le bienfondé du terme « Virus du PCC ».

En s’appuyant sur la chronologie des événements, Rubio et la journaliste ont affirmé que le PCC avait délibérément dissimulé l’épidémie pour préserver son image. Ainsi, la prévention de la pandémie a été retardée et le coût est devenu énorme pour les pays du monde entier.

Rubio a mentionné les 7 péchés du PCC : 1. Dissimulation de l’épidémie ; 2. Incapacité à contenir le virus dans sa zone géographique d’origine et propagation du virus à l’échelle mondiale ; 3. Mesures de rétorsion à l’égard des chinois ayant révélé l’épidémie au public ; 4. Interdiction de territoire aux équipes internationales et volonté de ne pas partager les 1ers échantillons du virus ; 5. Négation de la vérité sur la virulence du virus ; 6. Menaces à l’égard des pays ayant suspendus leurs vols ; 7. Pression économique sur les pays.

Fox TV a délibérément placé les déclarations de Bannon et Rubio dans la bande annonce de l’émission. Ce jour-là, Trump a retweeté la bande annonce en rajoutant « Maria est géniale ! ».

Les pertes causées dans le monde entier par le « Virus du PCC » sont immenses alors que le PCC rejette la faute sur les Etats-Unis. Suite à l’utilisation du terme « Virus du PCC » par Fox TV, certains estiment que les Etats-Unis ont sans doute compris l’importance de cesser toute collaboration avec le PCC, et donnent ainsi l’exemple au monde entier.

Terrifiant ! Les révélations d’un militaire chinois, expert médical

(source photo: photomontage)

« Je vous avertis que ce « Virus du PCC » (Covid-19) est très destructeur. Les premiers résultats des recherches scientifiques tendent à démontrer que ce virus est artificiel. Il associe des gènes du SRAS et du SIDA. Ce qui rejoint mes propres spéculations et ceux d’autres spécialistes en médecine ».

« Une caractéristique du SRAS est sa propagation facile et rapide, alors que le SIDA reste longtemps dans le corps et est incurable. Le SIDA détruit  le système immunitaire. A Wuhan, où la première génération de ce virus particulièrement virulent s’est répandue, près de la moitié des patients sont morts ».

« Donc, la situation est très sérieuse, il faut absolument éviter d’être contaminé par ce virus. Il est important de renforcer son système immunitaire. Je n’ai pas de meilleurs conseils ».

« Pour renforcer les défenses immunitaires, personnellement, je préconise la médecine chinoise, les thymosines et les probiotiques ».

« Au commencement, nous avons sous-estimé ce virus. Nous pensions qu’il s’apparentait au SRAS et qu’il suffisait d’attendre la fin du confinement. Mais nous avons compris que le système immunitaire des patients guéris est ruiné. C’est terrifiant ! ».

« Mais le temps passant notre inquiétude grandit. Pour les experts, même les patients guéris peuvent être contagieux, comme les porteurs du SIDA. Ce virus ne sera jamais éliminé. Comme pour le SIDA depuis toutes ces années, je peux affirmer qu’il n’y aura jamais de vaccin. Ceux qui prétendent le contraire sont des menteurs ».

« Prenez soin de vous et de votre famille, protégez-vous au maximum. Une fois que vous êtes contaminé, comme le SIDA, il détruira votre système immunitaire. De plus, il n’est pas possible de savoir qui est contagieux autour de nous. La mise au point de ce virus, c’est la destruction de l’humanité. C’est de la folie ! ».

« Il est donc crucial de renforcer ses défenses immunitaires. Il n’y a aucune autre option ».

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