mercredi, décembre 10, 2025

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Limoges : un magasin vendait des lots de 50 masques à 75€, le gérant s’explique

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Illustration (Pixabay)

Vendredi 10 avril, un magasin sur Limoges vendait des lots de masques à un prix exorbitant, suscitant de vives réactions sur les réseaux sociaux. Le gérant revient sur la polémique pour s’expliquer.

À peine mis en vente vendredi après midi, des masques chirurgicaux ont été retirés le soir même du Super U de l’avenue Emile-Labussière à Limoges. Le gérant a pris cette décision après avoir été alerté par la pharmacie voisine, qui elle-même ne dispose d’aucun masque à la vente, et à la suite d’une vive polémique à la vue du tarif pratiqué par l’enseigne : 75 € le lot de 50 masques.

Cependant, le directeur du Super U, Hervé Epaillard, n’a pas voulu profiter de la crise sanitaire, il explique avoir acheté ces lots 73 € en Chine, d’où le prix élevé à la vente, et qu’il ne s’attendait pas vraiment à les recevoir au vu des difficultés à obtenir des masques.

Hervé Epailaird explique, d’après le Populaire du Centre : « Ce sont des masques que nous avons commandés auprès d’un fournisseur chinois, il y a six semaines. Il y avait impossibilité de trouver des masques en France, et je voulais en commander 10 000 pour protéger ma centaine de salariés, qui doivent en utiliser chacun trois par jour. Le fournisseur les vendait par 30 000. J’ai immédiatement réagi et je ne me suis pas posé la question sur le prix. J’en ai donc commandé 30 000, sans vraiment croire que je les obtiendrai. »

Il poursuit : « Nous avions énormément de demandes de clients, notamment les personnes âgées un peu paniquées depuis que la Ville a préconisé le port du masque pour tous les habitants. J’en disposais d’assez pour mes salariés donc dans la rapidité, j’en ai proposé à l’Agence régionale de santé (ARS) et j’ai mis en vente des lots de 50 masques à 75 €. Ils me coûtaient, transport compris, 73 €. Six semaines après, c’est vrai que les masques étaient bien moins chers en France, mais je ne pouvais les écouler à perte, car c’est illégal. »

D’un commun accord avec la préfecture, les masques seront donc distribués à l’ARS et au Secours populaire. Hervé Epaillard nie avoir voulu faire des bénéfices, mais avoue ses regrets d’avoir agi trop rapidement.

(Article original: Epoch Times)

Le Royaume-Uni durcit ses relations envers la Chine suite au scandale des kits de détection contaminés

Suite de tests de virus CCP. (Michael Sohn / AP)

Le Premier ministre britannique Johnson avait autorisé Huawei à participer à la construction de la 5G au Royaume-Uni malgré le risque élevé que cela représente pour la sécurité nationale. Cependant récemment Boris Johnson était furieux d’avoir été infecté par le Covid-19 d’autant plus que les kits de test fournis étaient dans leur grande majorité inefficaces, voire pire encore contaminés par le virus du PCC, le Parti communiste chinois.

Le nouveau coronavirus, responsable de la maladie du Covid-19, a été renommé « virus du PCC », car la dissimulation et la mauvaise gestion du Parti Communiste Chinois ont permis au virus de se propager dans toute la Chine et de créer une pandémie mondiale. »

Le fait que le PCC ait laissé entendre que les États-Unis et l’Italie seraient à l’origine de la propagation du virus a aggravé la situation. Des sources indiquent que le Premier ministre britannique annulerait peut-être le contrat 5G avec Huawei.

Ces kits de test sont assemblés à Luxembourg par Eurofins, la première agence d’analyse et de test scientifique au monde. Or, ces kits portaient le virus du PCC. Autrement dit, ceux qui sont testés ont toutes les chances d’être infectés par les tests eux-mêmes !

Eurosfins affirme que les pièces composant les kits ont été fournies par « d’autres pays ». Selon Creative Destruction Media News Network, malgré le langage diplomatique d’Eurosfins, cela laisse à penser que l’état Chinois a une responsabilité dans cette affaire. Cependant, les autorités britanniques réputées « politiquement correctes » n’ont pas exposé l’affaire.

En outre, M. Johnson a exprimé son indignation face au retard de communications pris par le PCC depuis le début de l’épidémie et à la déformation des données réelles sur les infections et les décès.

Le gouvernement chinois a annoncé qu’il dénombrait un peu plus de 81 000 personnes infectées pour plus de 3 000 morts sur l’ensemble du pays. Mais les derniers renseignements provenant des crématoriums chinois, dont la Grande-Bretagne a eu connaissance début avril, montrent que le nombre d’infections et de décès en Chine continentale est de 15 à 40 fois supérieur au nombre rapporté par le PCC.

M. Johnson est d’autant plus en colère que le PCC a blâmé d’autres pays pour avoir favorisé la pandémie mondiale, en citant d’abord les soldats américains, puis les Italiens.

Selon les rapports d’experts, la désinformation choquante du régime chinois a fait comprendre à l’Italie et maintenant à la Grande-Bretagne qu’il s’avère dangereux de traiter avec ce parti.

Selon de récents articles des médias, aucun des 17 millions de kits de dépistage d’anticorps que le Royaume-Uni a commandé en Chine n’a bien fonctionné. Ces kits de dépistage des anticorps ne peuvent détecter que les personnes qui présentent déjà des symptômes graves de l’infection. Les tests sur les personnes asymptomatiques et légèrement infectées reviennent souvent négatifs et des fois les tests sont positifs pour les personnes non infectées. Le Royaume-Uni a alors annoncé le retour des marchandises, annulant toutes les commandes passées et réclamant le remboursement.

Selon les informations, Boris Johnson a été diagnostiqué positif au virus du PCC le 27 mars, puis hospitalisé le 5 avril et transféré à l’unité de soins intensifs le 6 avril lorsque son état s’est soudainement détérioré. Son état s’est amélioré quelques jours plus tard. Il est sorti de l’hôpital le 12 avril pour récupérer dans sa maison de campagne.

Poursuivre le gouvernement du Parti communiste chinois et la direction de l’Organisation mondiale de la santé, pour génocide, devant un tribunal international.

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Poursuivre le gouvernement du Parti communiste chinois et la direction de l’Organisation mondiale de la santé, pour génocide, devant un tribunal international.

Il n’est PAS suffisant ni utile de réclamer UNIQUEMENT par le biais de groupes juridiques civil, ni de pousser les dirigeants de l’OMS à démissionner. Dans cette situation grave actuellement et à l’avenir, il est temps et c’est aussi leur DEVOIR le plus important : les gouvernements de tous les pays DEVRAIENT s’unir pour protéger leur peuple, en constituant un comité d’investigation, afin d’enquêter et de poursuivre le Parti communiste chinois et la direction de l’OMS, devant un tribunal international, dans ce qui pourrait être un GÉNOCIDE de l’humanité.

https://petitions.whitehouse.gov/petition/charge-chinese-communist-party-government-and-who-leadership-holocaust-international-tribunal

S’il vous plaît, METTEZ EN PLACE un nouveau tribunal international DÈS QUE POSSIBLE, tel lors du procès Nurenberg après la Seconde Guerre mondiale, si aucune des structures judiciaires existantes à travers le monde n’est habilitée pour ce type de procès. Il n’y a pas de prix pour toutes les vies que nous avons perdues ! Pour un gouvernement, ce ne sont peut-être que des chiffres, mais pour chaque famille, cela représente TOUT LEUR AMOUR !

La Chine prend la défense de l’OMS après que Trump et d’autres l’aient accusé d’être aux ordres de Pékin

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La Chine prend la défense de l’OMS après que Trump et d’autres l’aient accusé d’être aux ordres de Pékin(photo montage SOH)
SOH avec CNBC

L’Organisation mondiale pour la santé (OMS) traverse une sérieuse crise concernant sa façon de faire face à la pandémie du coronavirus.

La semaine dernière, le président Trump avait reproché à l’OMS d’avoir mal géré la pandémie du coronavirus. Il avait alors menacé de geler sa subvention à l’OMS. Cette décision s’est d’ailleurs confirmée le 14 avril où, dans un communiqué, Donald Trump a annoncé suspendre le financement des États-Unis destiné à l’OMS. Ce fonds, de l’ordre de 500 millions de dollars par an, représente 17% du budget de l’OMS.

Ses récentes critiques se font l’écho de nombreux reproches à l’égard de l’OMS, jugé comme étant de connivence avec la Chine.

AU JAPON
Le député premier ministre et ministre des finances, Taro Aso, avait évoqué au Parlement que certains commençaient à qualifier l’Organisation mondiale de la santé « d’Organisation chinoise de la santé », a rapporté NHK.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus s’était alors défendu en avertissant les chefs d’État de ne pas politiser la crise du coronavirus (Covid-19) s’ils tenaient « à ne pas avoir encore plus de housses mortuaires ».

À TAIWAN
Tedros a également taclé Taiwan après des mois de ce qu’il qualifiait d’attaques racistes et personnelles. À ces accusations, Taiwan a répondu qu’il s’agissait de « bassesses » avant de demander à Tedros qu’il présente ses excuses.

Taipei a ensuite diffusé ce qui serait un email signalant dès le 31 décembre la transmission inter-humaine du coronavirus. Cet email serait resté lettre morte. L’OMS s’est défendu, prétextant que cet email ne faisait pas mention du type de contamination, a rapporté Reuters.

Rappelons que Taiwan ne fait à ce jour pas partie de l’OMS, puisque cette dernière ainsi que les Nations Unies ne la reconnaisse pas en tant que nation souveraine, mais comme faisant partie de la Chine. Taiwan n’a pas hésité à déplorer son éviction de l’OMS comme ayant mis en péril la vie de ses citoyens.

Cette exclusion montre à quel point les questions d’urgence sanitaire se sont transformés en luttes géopoliques. La Chine est l’un des principaux États à mettre en avant sa participation aux efforts mondiaux, notamment ses soi-disants dons de matériel médical.

L’AVOCAT DE LA CHINE
L’OMS a également été jugée inactive dans les débuts de la crise, alors que le coronavirus était en train de contaminer la Chine continentale.

Une pétition en ligne, demandant la démission de Tedros, a déjà récolté le million de signatures. Elle dénonce le retard de l’OMS à avoir fait de cette pandémie une question d’urgence sanitaire à l’échelle mondiale.

Les critiques visent également le manquement de l’OMS pour n’avoir pas réagi lorsque la Chine a contraint les lanceurs d’alerte au silence, alors que le virus faisait son apparition à Wuhan en décembre dernier.

Pour toutes ces raisons, il semble que Tedros serait à la botte du Parti communiste chinois, agissant tel un avocat du diable. Alors que Tedros rendait visite au président Xi Jinping au début de l’année, il encensait le souverain chinois pour son ouverture et capacité à avoir partagé les informations avec l’OMS et d’autres pays, rapporte Michael Collins, chercheur associé au Council of Foreign Relations.

RARES RECONNAISSANCES DE TAIWAN
Malgré cela, à travers sa gestion de la crise, Taiwan a tout de même gagné une certaine reconnaissance à l’échelle internationale pour avoir réussi à endiguer très tôt l’épidémie, malgré son exclusion de l’OMS.

Taiwan, d’une population de 24 millions d’habitants, est située à proximité de la Chine. Un détroit les sépare, leurs systèmes politiques sont radicalement différents, mais cela ne les empêche pas de continuer d’entretenir des liens étroits en affaires et relations sociales.

Jusqu’à présent, l’île n’a recensé que 400 cas de contagion et seulement 6 morts, tandis que son voisin Honk Kong a rapporté un millier de cas, le Japon 7.000 et la Corée du sud plus de 10.000.

L’OMS, dans un communiqué exceptionnel le mois dernier, a affirmé travailler étroitement avec des experts de la santé à Taiwan, et prendre les leçons de leur gestion de la crise.

« Les informations pourtant transmises par Taiwan ont, et c’est pour le moins ironique, été officiellement ignorées du fait du statut de l’île, considérée comme une ‘’province de Chine’’ », rappelle sur son blog le 24 mars François Godement, conseiller pour l’Asie à l’Institut Montaigne.

« Il convient donc de comprendre comment une agence des Nations Unies dotée d’un budget de 3,8 milliards de dollars, disposant de grands bureaux régionaux et forte d’une expérience des épidémies et des réponses d’urgence comptant parmi les plus approfondies au monde, ait pu tomber dans ce piège. » conclut F. Godement.

Les médias officiels du Parti communiste chinois démentent la propagation de l’épidémie à Guangzhou

Récemment, dans la ville de Guangzhou en Chine, la nouvelle qui circule fait grand bruit. Le coronavirus, renommé virus du PCC, le Parti communiste chinois, serait en train de sévir dans une deuxième vague.

Selon les dernières informations, depuis le 5 avril, les écoles et les commerces du quartier de Sanyuanli sont fermés, ainsi que le village de Yaotai. Le couvre-feu a même été imposé dans certaines zones et les militaires effectuent des inspections en porte-à-porte.

D’autres nouvelles indiquent que l’hôpital Fangcang est en construction juste à côté de l’hôpital militaire de Guangzhou pour faire face à l’explosion de l’épidémie dans la ville.

Guangzhou est le centre économique du sud de la Chine. Certains habitants disent que Sanyuanli est le carrefour économique et des transports de Guangzhou. Si l’épidémie explosait dans cette ville, ce serait très grave. Elle se répandrait très vite et ce serait pire qu’à Wuhan.

Le bureau du contrôle de l’épidémie de Guangzhou a annoncé le 7 avril dernier : « il y a eu des nouveaux cas de contamination importés, mais le village Yaotai n’a pas été fermé ». Cependant, la plupart des gens ne croient plus tellement les informations officielles du PCC.

En parallèle, le média officiel du PCC a annoncé que l’épidémie a eu lieu dans le quartier africain de Guangzhou dans un premier temps, et que « le quartier africain de Guangzhou va devenir une source de contamination importante. » Des commentaires externes estiment que l’objet de cette déclaration est de rejeter la responsabilité sur les habitants africains

Des discussions postées sur internet disent en résumé : « Le PCC essaye de contester sa responsabilité dans la probable deuxième vague d’épidémie ; il rejette la responsabilité sur les États-Unis, l’Allemagne et l’Italie pour les cas de contamination importés et maintenant ce sont les africains. » « Toute la faute vient des pays étrangers ».
De plus, on a entendu dire, le 6 avril 2020, que le village de Huangpo dans la région de Hubei, a été de nouveau fermée.

Un post sur internet indique que ce qui se passe actuellement en Chine ressemble vraiment au désastre annoncé par l’ancien prophète Liu Bowen dans un poème.

Des commentateurs externes se montrent extrêmement inquiet de l’arrivée d’une deuxième vague d’épidémie et insistent sur l’importance d’une prévention sans relâche.

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